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Les chevaux....

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Par: Céline Lacasse

 

Il faut que je vous raconte, ce qui m'est arrivé pour me rapprocher du cheval, et découvrir que s'était pour moi un remède et... qui s'est transformé par la passion, même si j'aimais l'animal depuis ma plus tendre enfance...

Tout ca a commencé quand mon mari et moi étions en voyage a Montréal, pendant le trajet, je me sentais pas très bien, mais j'évitais d'en parler à mon mari, je me sentais fébrile, anxieuse, et j'avais des serrements à la gorge, comme si je manquais d'air, j'essayais de me raisonner, mais s'était très difficile, et un soir nous étions invités chez la soeur de mon mari, pendant le souper mes symptômes se sont aggravés, la j'étouffais, l'air n'arrivait pas à mes poumons, je pensais que j'étais en train de mourir, ma belle soeur qui est infirmière, téléphona à son médecin,,, il lui dit de nous rendre toute suite a son cabinet, et pendant le trajet ma belle-sur me faisait respirer dans un sac de papier.

En arrivant au cabinet du médecin, il m'a examiné, et m'a dit que j'avais besoin de repos, je suis repartis avec une prescription d'anti- dépresseur, nous sommes allés reprendre notre voiture chez ma belle-soeur, pour se rendre chez mes parents, à ce moment nous étions sur la rive sud de Montréal, et mes parents restaient sur la rive nord, mon mari a été obligé de faire deux arrêts dans les urgences d'hôpitaux, entre la rive sud, et nord, car les crises d'anxiété reprenaient, et a l'urgence de lhôpital Fleury, le médecin a suggérer à mon mari de repartir pour lOntario ou nous habitions, ces paroles ont été, pas d'explication plus quil n'en faut, ramène ta femme chez vous, le plutôt possible, le lendemain matin nous repartions pour l'Ontario, et c'est moi qui ai conduit l'auto tout le trajet, il n'y a qu'a moi seule que je faisais confiance...

Tout ca est arriver en 1969, et depuis je n'ai jamais fais d'autre voyage, moi des vacances en famille je connais pas, et d'ailleurs mon mari et mon fils non plus...

En arrivant chez-moi, je prends rendez-vous avec mon médecin de famille,,,pour savoir ce qui m'arrivait,,,imaginer qu'il n'a même pas su me renseigner,,,ni me rassurer,,,,et combien, dans ces moments là, moi j'aurais aimé qu'on me rassure.

Je ne voulais pas parler de ca avec personne, pour moi j'étais folle ou entrain de le devenir, j'avais honte. Et un jour, j'en parle avec mon amie, une vraie amie, je sentais le besoin a ce moment la d'en parler, car elle ne pouvait peut-être pas m'aider, mais elle savait m'écouter sans me juger, pour moi s'était l important...

Ensuite, peut-être 10 ans après je trouve un livre ou il parle d'agarophobie, claustrophobie, et je me suis dit, voila peut-être les réponses a mes questions, je commence à lire ce livre pour effectivement me rendre compte que 'cest exactement les mêmes symptômes que moi j'éprouve, et tout en lisant, j'éprouve de la difficulté, car les crises d'anxiété refond surface, j'arrète donc de lire, et je me raisonne, et 2 heure après je recommence, et ca jusqu'à la fin du livre, car juste de lire le livre me faisais peur, je vivais vraiment les symptômes que ces personnes décrivaient...

Après la lecture du livre, je vais en discuter avec mon médecin, je revoie encore son petit sourire, et l'expression quil avait, il me laisse parler, et ensuite me dit,,,tu penses que je suis pas au courant de cette maladie,,,la solution ma fille c'est des médicaments, tu es entrain de faire une dépression,,,et en même temps qu'il me disait ca, il écrivait l'ordonnance,,,pas besoin de vous dire ou est aller l'ordonnance,,,et le docteur, les deux a la poubelle...

Le médecin que jai consulté par la suite, n'est pas différent de l'autre, je lui ai dit tout de suite que je n'étais pas folle, et que des anti-dépresseurs je n'en prendrais pas, sans savoir au juste d'où venais mon problème, je lui ai donné comme exemple,,,quand une fleur est malade, soigne ton la tête de la fleur, ou commence ton pas, par voir le problème à la racine, il a rit, et ma suggérer d'aller consulté un psychologue, ce que je fit , il ne m'a pas aider lui non plus,,,,il faut dire que j'habite dans une petite ville de 6000 habitant, donc les services dans ce domaine sont très restreint, et nous prenons ce qui est à la porter de mains,,,pour vous dire que même là, je ne pouvais pas aller à lextérieur de ma ville pour trouver de l'aide....

En 1972 jai donner naissance à mon fils unique, et quand il a commencer l'école, je suis aller sur le marcher du travail, j'étais dans la restauration, un remède à mon problème, car j'aime le monde en général,, ca ma beaucoup aider, et aussi 72 a été l'acquisition de mon premier cheval a moi, juste a moi, un cadeau de mon mari, et sams le savoir il ma donné le remède qui a soulagé ma vie, et qui ma redonner le goût de continuer à vivre, j'avais mon mari, mon fils, bien sur, mais le cheval lui m'a donné le courage de sortir à l'extérieur de la maison,,,franchir la porte,,,car cette phobie,,,il y a des personnes qui ne peuvent même pas ouvrir leur porte, mettre un pied à l'extérieur, cest la pure vérité,,,moi, comme je vous l'ai dit mon cheval m'a été d'un grand secours,,,  Non bien sur, pas de grand voyage je n'ai jamais pu en refaire, mais je fonctionne très bien comme ca, pourvue que je m'éloigne pas plus de 10 milles, de ma demeure....

A tous les matins 8:30, je m'obligeais à sortir, mon fils partait pour l'école, et moi pour l'écurie, mon galop du matin, était peut-être la pilule que d'autre personne sont obligés de prendre pour se soigner, je passais la matinée avec mon cheval,,, pauvre cheval, quil m'en a consolé des peines, en rapport à cette maladie,,,,toujours est-il qu'elle est morte à lage de 13 ans, et je l'avais acquis, elle avait 1 ans et demi, son nom Sandy, elle était une jument, très docile, calme, malgré les débuts qu'elle avait connu, l'hiver qu'elle est venue au monde, l'écurie de M. Dagenais a tout brûler, imaginer elle venait de naître le 19 février, et début mars le feu a tout détruit l'écurie, laissant le propriétaire sans d'autre ressource que leur bâtir un toit, pour les mettre à l'abrie des intempéries, et au printemps suivant je suis tomber en amour avec Sandy et nous l'avons acheter...

Quand je l'ai vue, pour la première fois, elle était maigre, son poil d'hiver encore en place malgré le beau temps de la fin du mois de mai, mais malgré ca, je l'aimait,,,car en entrant dans l'enclos, elle est venue à moi, et quand je me déplaçais pour regarder d'autres chevaux, elle était toujours proche, mon choix était fait, c'était plutôt elle qui m'avait choisie...

Mes première expérience c'est avec elle , et l'aide d'une dame, qui m'a donner un bon coup de main, que de conseils elle m'a donner, merci Madame Poulain, de ceux que jai adopter, et excuse moi pour ceux dont j'était pas d'accord, et avec les année , moi et Sandy, nous ne faisions qu'un, monture, cavalière, et je peux me vanter d'avoir été éjecter qu'une fois,,,et oui un cavalier tombe au moins une fois dans sa vie,,,je la montait depuis un certain temps, quand par un beau soir je faisais ma randonnée, et voila qu'un camion surgit, et elle se lève debout sur ses pattes arrières , et moi sur les foufounes par terre, toute surprise je me relève, et me dit voila à l'avenir tu seras sur tes garde, et pendant ce temps Sandy était toujours rester près de moi, elle n'est jamais parti a toute épouvante comme certain chevaux le font, quand ils ont peur, et jamais elle n'a recommencer, en plus d'avoir un bon caractère, c'était une jument magnifique, après quelques années il ne restait aucune trace de lannée ou elle est née...

Nous étions les seuls mon mari et moi à pouvoir la montée, d'autres personnes ne pouvait pas,,,un jour l'ami de mon mari nous croyait pas, il dit, moi je suis capable,,,et c'était le genre je connais tout,,,, alors je fais un signe à mon mari,,,,mon mari dit d'accord, je la prépare, et montre nous ce que tu sais faire,,,,je peux pas dire le temps qu'il est rester assis, la jument a avancer, et sarrête dun coup sec,,,le monsieur en question a planter par en avant, et nous avons bien rit,,,je savais aussi que ma jument ne l'aurais pas blesser, car elle n'était pas méchante du tout, car si javais eu un doute qu'elle pouvait le blesser, j'aurais pas accepter...Car même si j'ai la passion, je sais aussi, que le cheval, est un animal, et comme tous les  animaux, il a son caractère, il peut y avoir des jours ou il peut être imprévisible, toujours être prudent, et avoir confiance, et non pas arrogance, et ni dominance, traiter le avec respect, comme vous voulez être traiter, et vous aurez toute satisfaction de ce superbe animal....

Aujourdhui je vais vous parler de la race :( Cheval de selle Américain ) Sandy, était de cette race,

Origine: État-Unis (Kentucky)

Aptitude: Selle et trait léger

Qualités: Fort et résistant

CaractPre: Docile et énergique.

Morphologie:

Hauteur au garot:1,52-1,62, poids450-540 kg: Robe: bai, noir, alezan, gris, rarement rouan. La tête petite, profil rectiligne ou légèrement moutonné, oreilles pointues, oeil grand, nasaux larges. Encolure longue, rouée et musclée. Garrot proéminent, ligne dorsolombaire droite et plutôt longue, croupe horizontale, queue bien attachée et portée droite, thorax ample et profond: épaule longue, inclinée et musclée. Membres longs et fins, bonne ossature et bonnes articulations, tendons bien détachés, paturon long et incliné, sabot petit et solide avec talon bien ouvert .

Histoire

Le cheval de Selle Américain encore appelé, Kentucky de Selle, fut créé par croisement du Pur-Sang Anglais, du Morgan, de lambleur Narranganset, et probablement du Hackney, pour remplir une double fonction. Il possède trois ou cinq allures, selon le type de dressage; le "threegaited" pratique trois allures ( pas, trot et carter, ou petit galop); le "fivegaited" ajoute aux précédents le " slow gait " ou " stepping pace " sorte damble rompu a quatre temps et le " rack", un " slow gait " accéléré.

A la prochaine chronique,

Écrivez moi... si vous avez des questions, je me ferai un plaisir de vous répondre:


Amicalement vôtre...

Céline

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